Blog de Maître Olivier 691

Plan avec Maitre843

Le rendez vous était prévu à 20h15 au bas d’un immeuble où il y avait deux cages d’escaliers ;

J’arrivais donc à l’heure et j’attendais près de ma voiture.

J’étais assez angoissé vu le site et l’expérience du Maître que j’avais vu en photos et sur le salon smboy.

Je l’ai vu arriver et j’étais assez anxieux, je me suis dirigé vers lui en lui disant « bonjour Maître » et je l’ai suivi. Dans l’ascenseur, dès la porte refermée, j’ai reçu aussitôt des baffes assez fortes et le travail des tétons a commencé. Je ne disais rien et j’essayais d’être à la hauteur malgré la souffrance instantanée. De plus 14 étages lui ont permis de me mettre en condition et je ne disais rien.

Nous sommes rentrés dans son appartement et les claques ont recommencé et le travail des tétons me força rapidement à me mettre à terre, il me serra entre ses jambes et m’emmena ainsi à quatre patte vers sa chambre aménagée je ne voyais rien et toujours entre ses jambes les fessées ont commencé, il en profitait aussi pour défaire ma ceinture enlever mes chaussures puis bientôt m’enlever mon pantalon et caleçon et a ouvrir mon cul tout en continuant les fessées.

Après cette mise en condition il m’a demandé de me mettre debout j’ai enlevé mes chaussettes et ma chemise : j’étais à poil. Je découvrais sa chambre équipée d’un sling une lumière tamisée et un bureau avec ordinateur. Il s’est mis à fouiller dans des tiroirs et me mis une cagoule noire avec simplement un trou sur la bouche ; il m’a mis un doigt dans la bouche et recommença a me travailler les tétons puis la bite et les couilles en serrant très fort.

De nouveau j’étais à genou et il se frottait contre mon visage je sentais sa bite à travers son short très dure et impressionnante les claques pleuvaient et mes seins étaient torturés à fond j’avais les larmes aux yeux. Il me demanda d’ouvrir la bouche et y fourra à fond sa bite, j avais des spasmes tellement il la mettait à fond.

Je me suis retrouvé à quatre pattes devant lui et les fessées reprenaient avec un travail de mon cul.

Il m’a demandé de me lever et a commencé à m’attacher très fort ma bite et mes couille en passant la corde par derrière le long de ma raie puis un bondage sur le corps et il m’a allongé sur le lit.

Il se mit a m’attacher les bras et les jambes en tirant au maximum ; j’étais étiré comme jamais et ne pouvais bouger. Ma bite et mes couilles me faisaient horriblement souffrir et il continua le bondage.

Il me fouetta avec un martinet en cuir sur tout le corps et me travailla le gland et les couilles avec une balayette il s’est mis à califourchon sur moi afin que je puisse le sucer à fond et d’un seul coup il se vida sur moi et me dit que c’était la fin du 1er plan.

                J’étais au sol sur le ventre en train de recevoir les coups de cravaches et le martinet en cuir ne pouvant que me tordre le sol était inconfortable mais j étais la pour çà.

Il m’a libérer et j ai encore souffert pour enlever le bondage, ma bite et mes couilles étaient douloureuses comme jamais.

Nous sommes allés dans son salon et il m’offrit un verre et nous avons discuté. J’étais assez fière d’avoir résisté.

Un peu plus tard il me demanda de retourner dans la chambre et de nouveau j’étais par terre sur le sol de tapis en corde qui est inconfortable pour les genoux .il me travailla le cul fortement et me fouetta avec une cravache et son martinet puis m’installa sur le sling en m’attachant les mains aux chaînes ainsi que les jambes bien écartées. Le travail du cul recommença mais mon cul étant très serrés je souffrais beaucoup en me tordant j’ai entendu le bruit d’un briquet et la cire chaude commença à couler partout sur mon corps sur les tétons sur ma bite le gland les couilles j’ai sentis que cela coulait entre mes fesses et je me tordais de nouveau le travail du cul avec un gode puis sa bite repris j’avais le cul en feu cela dura longtemps puis il jouit de nouveau sur mes fesses.

                Je me suis retrouver avec sa sket pas très odorante mais j’adore ça je ne pouvais pas bouger et ne pouvais respirer que cette odeur.

I

l me libera et j ai eu la possibilité de dormir chez lui .j’aurai eu envie de le servir encore mais nous étions fatigues et maître 843 devait prendre un train le lendemain.

Je le remercie encore de son hospitalité et suis prêt à recommencer.

Voilà maître Olivier je vous joints les photos du plan

Votre bâtard